Politique en Guinée : « l’espoir serait-il perdu ? » Par Ibrahim Dioum

La boussole de tout est un peuple crispée.
L’existence d’un peuple fort passe par son union, celui exacerbé par des calomnies des traquenards cauchardesques âpres ne saurait retrouvé le chemin d’or vers une croissance sociale équilibrée.
Si chacun se fait passer pour le plus noble, le plus apte, le plus plébiscité à cause de son appartenance ethnique sans éthique, l’on pourrait parler avec épique ses comportements qui laissent à désirer.
Tremper une plume dans l’encrier pour dénoncer les maux dont souffrent nos peuples reste une obligation sans abnégation, n’avons nous pas rater notre mission ?
Cette question vaudrait tout son pesant d’or, dans la mesure où les serveurs d’exemples sont les premiers auteurs des
pratiques néfastes et nuisibles aux sensibilités communes.
La politique n’est elle pas alors, l’échec de nos sociétés ? À l’allure des faits, qui se traduisent comme étant tout ce qui est ou qui arrive en tant qu’on leur tiennent pour des donnés réelles, il faut dire sans jambage que les politiques sont à la base des divisions qui Sévillent nos peuples.
Nous jeunes d’ici et d’ailleurs allons nous observer sans bouger le petit doigt? Ne dit on pas que 《le silence devant le mal a sa part de responsabilité 》. Se taire serait sûrement une option mauvaise devant l’histoire.
Écrivons ensemble celle-ci qui nous est commune comme les portions géographiques qui nous sont attribuées.
Jeunes que nous sommes, devons prendre nos responsabilités en prenant des tournants décisifs, si toute fois nous
restons sans mot aujourd’hui, nous aurions honte devant nos progénitures, c’est maintenant ou jamais.
N’acceptons plus d’être pris pour des cons par des gens qui pensent que nous devons être exclus des instances de prise de décision. Croyons en l’avenir, créons le ensemble, ne fuions pas pour aller aider les autres à grandir et renoncer à nos patrimoines.
Il serait judicieux de prendre les choses à bras le corps, car de la boulimie aux bisbilles naîtra forcément une dissonance, comme pour dire que tels que soient les problèmes nous restons et resteront toujours ensemble.
La cause principale de ces problèmes reste sans risque de se tromper l’analphabetisme, à cela s’ajoute la malhonnêteté de certains intellectuels, qui fédèrent les analphabètes comme des
boucs émissaires qui roulent avec passion(au delà de la raison) tout en croyant tout permis. De l’autre côté, ceux qui se prennent les communautés comme acquis et qui utilisent le Machiavélisme politique archaïque pour croire être plus malins. Il ressort de notre plein droit de redorer le blason politique de nos sociétés en le depourvant de toutes les tâches communautaristes, ethniques et régionalistes.
Ouvrons grandement nos yeux et ayons une vision large des aspects psycho-sociologisques en fédérant les gens autour des idées constructives et serviables pour un développement durable.
Engageons nous dans une dynamique rocambolesque de volonté à travers la nouvelle génération et les jeunes cadres dynamiques que regorgent nos peuples pour siffler la fin de la récréation.
Unis, nous irons loin!
Vive la jeunesse !

                             Ibrahim Dioum 
                             Communicant

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